De nos jours on entend beaucoup parler des promesses neurotechnologies en matières médicale et cela est déjà bien réel. Par ailleurs, des adeptes de la science, souhaitent réaliser des projets encore plus délirants : lire et écrire dans le cerveau. Si on le résume, c’est à quoi consiste l’ambition que Bryan Johnson ne cesse de rappeler encore et encore dans ses exposés dans chacun de ses conférences liées aux nouvelles technologies.
En 2016, l’entrepreneur américain a conçu l’entreprise Kernel afin de décoder le cerveau pour le réparer ou encore pour augmenter les capacités au niveau de la mémoire, de l’intelligence, etc.
Principe du projet
En effet, Bryan n’est pas le seul à rêver de communiquer à travers la pensée ou même de télécharger des idées sur une machine. Elon Musk, qui est le fondateur de Tesla (voitures électriques) ou de SpaceX (lanceurs spatiaux) s’est initié à la conception de Neuralink afin de connecter les cerveaux aux ordinateurs.
La page web de la société a précisé que pour être embauché il ne requiert aucune connaissance en neurosciences. De la même manière, Facebook souhaite que ses millions d’utilisateurs puissent transmettre à leurs amis leurs pensées sans avoir recours à des implants cérébraux. D’autres projets que finance l’agence de la défense américaine (Darpa) sont plus avancés. Deux parmi ces projets visent l’implantation des électrodes dans le cerveau des soldats. Cela dans le but de réduire leur stress et leur dépression lorsque les algorithmes vont détecter les problèmes.
Les résultats sont encourageants
Tous ces projets s’appuient néanmoins sur des réussites qui sont déjà bien réelles. Cette technique d’introduire des électrodes sous le crâne et d’envier ensuite un courant d’une centaine de hertz s’est toujours montré efficace depuis les années 1990, pour prévenir les tremblements de terre, la maladie de Parkinson et la dystonie. (C’est une maladie qui provoque des contractons motrices).
Certaines indications concernent les dépendances, les troubles obsessifs compulsifs, la dépression, etc. la technique pourra aussi servir à cette occasion. Le cerveau peut être connecté un exosquelette ou à des prothèses pour envoyer le signal cérébral moteur vers ces substituts lorsqu’il y a lésion de la moelle épinière par exemple.